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Mise en oeuvre

Le principe de mise en oeuvre consiste à activer des programmes en marge du noyau, de façon à actualiser automatiquement les rendements (en fonction des prix des produits et des facteurs), en faisant l'hypothèse qu'une partie au moins de chacune des productions végétales sera vendue par l'exploitation (i.e. la production n'est pas totalement autoconsommée). "En marge du noyau" signifie que la compilation des programmes de calcul des rendements et leur exécution soient activées lors de l'appel du noyau, sans en modifier les fonctions principales.

L'endogénéisation des rendements est réalisée via un groupement de commandes UNIX ('./aropaj/Blisscal.csh') appelé par le menu "AROPAj" (option '11') et un programme FORTRAN ('./aropaj/lisscal.f'). Des données exogènes, caractérisant les fonctions de réponse biophysique, sont susceptibles d'être utilisées (./aropa?/fran/rendog.don').

Il s'agit alors de "greffer" l'actualisation des rendements au niveau de l'exécution du programme d'interprétation des paramètres ('intern.f', qui "lit" le fichier 'mgg.par' pour générer la matrice PL). Cette opération est en cours d'élaboration, de test, puis de validation.

Une subroutine 'rendog' est incorporée au programme FORTRAN 'intern.f'. Elle s'exécutera en fonction de la valeur d'un paramètre d'activation du calcul des rendements (ce paramètre, 'endrg' est alors incorporé à la base 'mgg.par'). Cette exécution suppose que les données issues de l'élaboration de la fonction biologique de rendement soient disponibles. Ces données doivent être accessibles sur un fichier 'REPERT_TRAV/aropaj/lisscal.don' créé lors de l'activation de l'option '11' du menu "AROPAj", qui comporte également la mise à jour du paramètre 'endrg'.


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Pierre-Alain Jayet
2004-02-13