C'est une source fréquente d'erreur. Il faut être attentif à la charge du serveur, sachant que même lorsque l'administrateur limite le "parallélisme" des calculs (en autorisant un nombre maximal déterminé de groupes donnant prise simultanément aux simulation), il est possible que la charge provoquée par l'ensemble des utilisateurs soit trop lourde (par exemple lorsque le serveur est sollicité pour de nombreuses applications de type 'xterm', des calculs via MATHEMATICA, SAS, MGG, ...).
Plus facile est la vérification de l'espace disque disponible. Il faut disposer, pour une simulation France entière avec le version AROPA2 et tous les sous-groupes, de 400 Mo environ. Lorsqu'il y a incrémentation des simulations par l'appel en boucle d'un programme complet de simulations (i.e. un "balayage) l'incréement de ressource nécessaire est en général plus faible, de l'ordre de quelques %. Il faut néanmoins tenir compte des problèmes éventuels de résolution des dégénérescences PL et de l'importance des fichiers "trace" (i.e. les fichiers de type 'sortie.sortie'). Ces précautions valent en particulier lors de l'exécution des programmes de calibrage (Chapitre §5). L'exécution des programmes activés par le modèle MODANI est également gourmande en ressources.